Lundi, le comité d’organisation des coopérations internationales de Kerpape a accueilli une délégation congolaise dans le cadre d’une convention de partenariat.
“Le centre de Kerpape se situe dans une tradition d’accueil et d’échanges avec d’autres pays depuis plus de 50 ans. L’accès aux soins de qualité pour les personnes en situation de handicap est un enjeu majeur”, explique Pierre Verschoore, médecin de médecine physique et de réadaptation (MPR).
Willy Masuga, directeur chargé du Programme national de réadaptation à base communautaire (PNRBC), visite les installations plœmeuroises pour s’inspirer des modes organisationnels, découvrir les plateaux techniques des soins et d’accompagnement.
Le dialogue avec les différents départements permet de mener une réflexion sur la rénovation des actions sanitaires et sociales en direction des personnes en situation de handicap selon l’organisation des soins en République démocratique du Congo. Une démarche participative qui nécessite néanmoins une prise en compte réelle du traitement du handicap, au sein du pays, sur le plan politique et social », analyse Jean-Paul Divengi, médecin directeur de l’hôpital général de Kinshasa.
Les partenariats que peut nouer le centre de Kerpape s’adressent principalement aux pays francophones demandeurs.
“Le centre de Kerpape se situe dans une tradition d’accueil et d’échanges avec d’autres pays depuis plus de 50 ans. L’accès aux soins de qualité pour les personnes en situation de handicap est un enjeu majeur”, explique Pierre Verschoore, médecin de médecine physique et de réadaptation (MPR).
Willy Masuga, directeur chargé du Programme national de réadaptation à base communautaire (PNRBC), visite les installations plœmeuroises pour s’inspirer des modes organisationnels, découvrir les plateaux techniques des soins et d’accompagnement.
Le dialogue avec les différents départements permet de mener une réflexion sur la rénovation des actions sanitaires et sociales en direction des personnes en situation de handicap selon l’organisation des soins en République démocratique du Congo. Une démarche participative qui nécessite néanmoins une prise en compte réelle du traitement du handicap, au sein du pays, sur le plan politique et social », analyse Jean-Paul Divengi, médecin directeur de l’hôpital général de Kinshasa.
Les partenariats que peut nouer le centre de Kerpape s’adressent principalement aux pays francophones demandeurs.